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By Miguel Ordoñez


Il n’y a pas de meilleure époque pour être un amateur de cannabis qu’en ce moment. Le monde a adopté une position plus souple sur l’usage récréatif et la société est en train de changer en profondeur.

Mais malgré la popularité de la culture du cannabis, les informations erronées à son sujet et son utilisation sont encore nombreuses. Nombre de ces idées fausses datent de l’époque précédant la légalisation et empêchent la société d’apprécier le cannabis et ses bienfaits.

C’est pourquoi nous avons pris l’initiative d’analyser certaines des principales erreurs commises par les fumeurs de weed. Certaines d’entre elles s’appliquent davantage aux débutants tandis que d’autres concernent les fumeurs de tous niveaux d’expérience. Quoi qu’il en soit, nous vous donnerons quelques conseils utiles pour que chaque session fumette soit un succès.

Les erreurs avec le cannabis - Partie 1 : éducation générale sur le cannabis et démystification des mythes

Pour commencer, discutons de certains des mythes les plus courants et des incohérences entourant les informations générales sur le cannabis et ses effets. Avec plusieurs décennies de propagande anti-cannabis, il y a un manque de clarté sur de nombreuses caractéristiques de base de cette herbe utilisée depuis longtemps.

Que vous achetiez du cannabis pour la première fois ou que vous êtes intrigué par ce qu’on appelle le « high », lisez ce qui suit : nous démystifions certains des principaux mythes et éclaircissons ce qu’est réellement le cannabis.

  • Penser que fumer et manger de la weed est la même chose

Vous seriez surpris du nombre de personnes qui considèrent que manger de la weed et la fumer sont la même chose. Ce sont les gens qui pensent que « le cannabis, c’est du cannabis, et ça fait forcément planer ».

Bien que cela soit vrai dans une certaine mesure, la voie d’ingestion modifie considérablement les effets du cannabis. Alors que fumer fait passer le THC dans le sang via les alvéoles pulmonaires pour un effet rapide, les comestibles mettent beaucoup plus de temps à faire effet et quand ils le font, l’effet est en comparaison bien plus puissant.

Cela est dû au fait que le THC doit d’abord traverser le système digestif et le foie avant d’atteindre la circulation systémique. Au cours de ce processus, le THC est converti en 11-hydroxy-THC, un métabolite du THC beaucoup plus puissant[1].

En résumé, n’oubliez jamais que les produits fumables et les comestibles sont deux sujets différents.

Penser que fumer et manger de la weed est la même chose
  • Ne pas savoir ce que l’on fume

Les variétés de cannabis ont des noms et des fiches descriptives pour de bonnes raisons. Bien qu’elles ne soient pas toujours fiables, ces informations sont là pour vous donner une idée générale de ce à quoi vous devez vous attendre. Chaque variété présente un profil cannabinoïde et terpénique spécifique qui influence grandement l’effet global de la variété et contribue à la théorie de l’effet d’entourage[2].

De ce fait, connaître la composition générale des différentes variétés, ou chémovars, peut vous aider à trouver celles qui vous inspirent des expériences positives et à éviter celles indésirables. Par exemple, si vous savez que les variétés riches en THC ont tendance à vous mettre mal à l’aise, envisagez d’essayer une variété 1:1 THC:CBD ou une variété exempte de THC.

Quelles que soient vos préférences, il est toujours utile de savoir ce que vous fumez.

  • Ne pas savoir la différence entre la bonne et la mauvaise weed

Il s’agit plutôt d’une erreur de débutant, mais qui peut être évitée. Vous trouverez ci-dessous quelques signes révélateurs que vous pouvez utiliser pour déterminer la qualité de votre weed :

Couleur La mauvaise weed a une teinte plus sombre et brune. Habituellement, vous serez à l’affut des nuances de vert vif avec éventuellement des taches d’autres couleurs, comme le violet.
Odeur Si vous ne sentez pas cet arôme skunky, terreux et légèrement sucré en sentant vos têtes, cela signifie que l’herbe est probablement vieille ou de mauvaise qualité. Pire encore, si elle sent l’ammoniaque ou la moisissure : jetez-la immédiatement. Vous voulez que l’odeur soit forte, mais pas désagréable.
Fumée La mauvaise weed a aussi tendance à être plus rugueuse pour la gorge. De plus, à mesure que le cannabis vieillit, les terpènes et les cannabinoïdes se dégradent et changent, ce qui donne une fumée plus âpre et moins puissante.
Graines La présence de graines dans votre matos signifie que le cannabis n’a pas été cultivé à son plein potentiel et qu’il est probablement moins puissant qu’il ne pourrait l’être.
  • Croire que vous ne serez pas fracassé la première fois

Vous seriez surpris du nombre de personnes qui minimisent les effets de la marijuana. Il existe une sorte de mythe dans la communauté selon lequel les personnes qui fument pour la première fois ne ressentent rien. Bien qu’il y ait des raisons potentielles pour lesquelles quelqu’un ne serait pas aussi high lors de sa première expérience – comme ne pas inhaler profondément dans les poumons ou un manque général de compréhension des effets ressentis, il y a malgré tout de fortes chances que vous soyez bien attaqué. Ne sous-estimez jamais le cannabis !

Épargnez-vous l’inconfort et la déception d’en faire trop lors de votre première session fumette. En fin de compte, vous avez toujours affaire à une substance psychotrope. Procédez avec prudence et prenez une inhalation à la fois.

  • Problèmes de dosage : trop et trop vite

Le dosage du cannabis est quelque chose qui demande du temps et de l’expérience. Tout comme lorsque vous apprenez à faire du vélo, vous aurez besoin d’un peu de pratique pour trouver le bon équilibre.

Cependant, une erreur que beaucoup de gens ont tendance à commettre est de consommer un peu trop, un peu trop vite. Cela résulte en une expérience inconfortable qui, au mieux, gâche leur soirée, et au pire, les dissuade de la réessayer. Comme c’est le cas pour toute nouvelle expérience, commencez doucement. Familiarisez-vous avec le cannabis en observant prudemment comment différentes quantités vous affectent.

Notez également qu’il est beaucoup plus facile d’en faire trop avec les comestibles qu’avec le cannabis fumé, car les effets de ce dernier se dissipent en quelques heures alors que le premier peut persister jusqu’à 8 heures environ.

  • Mélanger l’herbe et l’alcool

La marijuana n’est pas une passerelle vers des drogues plus dures : l’alcool l’est. Étant donné sa légalité, c’est la première substance qui réduit les inhibitions et nous fait nous « sentir bien ».

L’idée de mélanger l’alcool et le cannabis peut plaire à certains, surtout si vous pouvez encaisser votre boisson. Cependant, des études suggèrent[3] que la combinaison des deux pourrait potentiellement augmenter les niveaux de THC existants dans le corps. Cette combinaison n’est pas mortelle, mais elle peut conduire à une situation très inconfortable.

Mélanger l’herbe et l’alcool
  • Penser que l’on peut être high en mangeant du cannabis cru

Ajouter des feuilles brutes de cannabis aux salades ou aux smoothies peut être une option alimentaire saine. Mais ne vous attendez pas à ce que ça vous attaque.

Pour que les cannabinoïdes fassent effet, ils doivent être activés par décarboxylation. Pour faire court, c’est un processus qui implique de chauffer vos têtes. Cela se produit automatiquement lorsque vous allumez une douille, un joint ou que vous inhalez avec un vaporisateur. Cela dit, pour les comestibles, l’herbe doit être chauffée dans un four à une température de 110 °C (230 °F) pendant environ 30 minutes pour être suffisamment « activée ».

  • S’attendre à quelque chose de « magique »

La culture populaire est l’introduction de la plupart des gens au cannabis. Il est souvent dépeint comme une substance magique, pour le meilleur ou pour le pire. Mais pour certains, l’expérience initiale peut être soit décevante, soit trop forte, ce qui crée une première impression négative.

Comme toute première expérience dans la vie, abordez-la comme elle est. Vivez l’instant présent et profitez-en. Ne vous attendez pas à ce que la weed soit un remède instantané contre l’insomnie ou la dépression, car ce n’est pas ainsi que cette plante merveilleuse et polyvalente fonctionne.

  • Généraliser les effets

Voici un conseil utile pour les fumeurs d’herbe, qu’ils soient débutants ou expérimentés : ne généralisez pas les effets. L’expérience de chacun avec l’herbe est différente, alors n’allez pas dire aux autres que le cannabis est « mauvais » juste parce que vous avez eu un bad trip. Dans le même ordre d’idées, il n’est pas utile de dire aux gens qu’ils ne ressentiront jamais d’effets secondaires ou de pensées ou sensations désagréables en fumant de l’herbe, car ce n’est pas nécessairement vrai non plus.

En général, ne vous fiez pas trop aux expériences des autres. Comme le dit le vieil adage : chacun ses goûts et ses couleurs. Créez votre propre expérience et votre propre relation avec la marijuana.

  • Paniquer

Il est tout à fait normal pour les consommateurs de cannabis débutants d’avoir un peu d’anxiété. Vous ressentez ces effets pour la première fois et votre corps et votre esprit ne savent pas comment réagir de manière appropriée. Cela dit, il est important de ne pas céder à la peur et de ne pas paniquer. Cela établira une relation déséquilibrée de crainte avec la weed et coupera probablement court à votre envie de réitérer l’expérience.

Il s’agit de changer d’état d’esprit. Rappelez-vous que tous ces sentiments d’anxiété et de malaise sont temporaires et qu’ils vont passer. Si vous ne faites que fumer de l’herbe, sans autres substances, tout ira bien. Laissez-vous un peu de temps et laissez les pensées anxieuses aller et venir. C’est en fait une bonne technique à appliquer dans la vie de tous les jours et cela ne fera que renforcer votre lien avec le cannabis.

Les erreurs avec le cannabis - Partie 2 : les erreurs que les gens font en fumant du cannabis

Maintenant que nous avons examiné certains des mythes généraux et la désinformation autour du cannabis, allons plus loin dans ce trou de vers et regardons certaines erreurs que les gens font pendant leurs sessions fumette.

  • Ne pas avoir d’eau ou de sucre à proximité

Parmi ses nombreux avantages, le cannabis a aussi son lot d’inconvénients. Les plus courants que les gens rencontrent sont la toux, les yeux secs et la redoutable bouche sèche (pâteuse).

Pour les yeux secs, vous devrez vous éloigner momentanément de la fumée pour y remédier. Mais pour la toux et la bouche sèche, un verre d’eau ou des sucreries feront l’affaire. Vous vous rendriez un mauvais service en ne les ayant pas à disposition.

Alors, pour votre bien, ayez à portée de main un verre d’eau ou un jus de fruits pendant votre prochaine session fumette. Qui a dit que ça devait toujours être désagréable.

  • Ne pas connaître le « bon sens » de la feuille

L’une des nombreuses erreurs que font les débutants lorsqu’ils roulent des joints est de ne pas connaître le « bon sens » de la feuille. Par bon sens, nous entendons celui sur lequel se trouve la colle. C’est la partie que vous allez humidifier et fixer sur l’autre extrémité pour sceller votre joint.

Le roulage d’un joint demande de la pratique et il est normal de faire quelques erreurs lors de vos premiers essais. Mais gardez à l’esprit le bon côté des choses la prochaine fois que vous roulerez : vous n’aurez pas l’air d’un éternel amateur et vous économiserez du papier.

Ensuite, si vous êtes assez doué, vous pouvez enlever la colle et rouler en utilisant le « mauvais sens » du papier. Mais c’est un sujet pour une autre fois.

Ne pas connaître le « bon sens » de la feuille
  • Utiliser trop peu ou trop de weed

Mettre trop d’herbe et trop la tasser risque de compliquer les inhalations. D’un autre côté, si vous en utilisez trop peu, le flux d’air sera excessif et le joint ou la douille brûlera beaucoup trop vite à votre goût ou à celui de quiconque.

Si vous demandez à n’importe quel fumeur expérimenté, il vous dira que le juste milieu se situe autour du demi-gramme. Cela devrait vous donner le joint de taille normale que vous avez l’habitude de voir.

  • Ajouter du tabac au mélange

Grâce au grand Bob Marley et à la culture jamaïcaine, le concept du spliff est né. Cependant, le terme décrivait à l’origine une « cigarette de marijuana » ne contenant pas de tabac. Une fois que cette idée a atteint l’Europe, le terme a fini par désigner un joint auquel étaient mélangés quelques brins de tabac.

Ce qui est bien avec les spliffs, c’est qu’ils vous donnent un sursaut supplémentaire d’effets grâce à la nicotine. Cependant, les inconvénients sont un peu plus importants. Non seulement vous pouvez devenir dépendant de la nicotine, mais en tant que substance, elle est également plus dangereuse pour la santé.

Si vous voulez continuer à fumer relativement sainement, évitez le tabac.

  • Fumer des tiges et des graines

Si vous avez vu des têtes de qualité supérieure, vous aurez remarqué qu’elles sont dépourvues de graines. De plus, le matos que vous achetez ne sera pas alourdi par un excès de tiges. En fait, vous n’obtiendrez rien d’autre que de belles têtes : exactement ce pour quoi vous payez.

Au contraire, l’herbe de mauvaise qualité sera pleine de graines et de tiges. Vous devrez faire l’effort supplémentaire d’extraire ces éléments non essentiels pour fumer, car ils produisent une fumée plus âpre. Non seulement l’expérience est moins agréable, mais en plus vous payez plus cher, car ces graines et ces tiges alourdissent considérablement le poids d’un sachet.

Si vous voulez vous assurer d’un produit de qualité, choisissez toujours une source fiable et légitime, même si vous devez cultiver votre propre matos.

  • Jeter les tiges

Même si vous ne voulez pas fumer vos tiges, elles peuvent sûrement être utilisées à bon escient. En effet, elles contiennent encore de petites concentrations de cannabinoïdes et, une fois extraites, elles peuvent être combinées pour créer des produits puissants.

Vous pouvez les utiliser pour faire du beurre de canna, les infuser dans du thé ou même en faire des teintures. Si vous prenez le temps de faire quelques recherches, vous découvrirez de nombreuses possibilités.

Alors, n’oubliez pas : ne jetez pas ces tiges tout de suite. Vous vous remercierez plus tard.

Jeter les tiges
  • Ne pas posséder de grinder

Si vous fumez de l’herbe, vous avez besoin d’un grinder. Que vous appréciiez les blunts, les bangs ou les spoon pipes comme moyen de consommer du THC, vous voulez que votre herbe ait une taille fine et régulière pour permettre une combustion uniforme.

Certains d’entre vous peuvent se demander, « Pourquoi ai-je besoin d’un grinder ? Je peux utiliser une paire de ciseaux ou même mes mains ». Bien que cela soit vrai, un grinder maximise la surface de votre tête et permet simplement d’obtenir une fumée beaucoup plus uniforme et agréable. C’est un luxe qu’aucune autre méthode ne peut offrir.

  • Allumer avec un briquet pourri

Vous n’avez pas besoin d’acheter un briquet coûteux pour bien faire le boulot. Mais il n’y a rien de pire qu’un briquet minable et peu fiable, surtout lorsque vous fumez à l’extérieur.

Si vous privilégiez une flamme résistante au vent ou d’autres caractéristiques spéciales, vous devrez investir un peu plus, mais vous pouvez également acheter des appareils adaptés pour le prix d’une barre chocolatée. Pour éviter de vous brûler les doigts, choisissez un briquet suffisamment puissant.

  • Allumer sans faire gaffe

Oui, il existe une façon correcte d’allumer un joint. Vous devez faire tourner le bout du joint lorsque vous appliquez la flamme à plusieurs centimètres de distance pour assurer une combustion uniforme. C’est une stratégie légèrement différente de celle qui consiste à allumer et à tirer une inhalation sur une cigarette.

Allumer un joint dans votre bouche et tirer dessus sans le faire tourner sur lui-même peut faire en sorte qu’un côté brûle plus vite que l’autre, ce qui entraîne l’insupportable « cuillère ». Cela peut à son tour affecter le goût et le plaisir général.

  • Ne pas faire tourner le joint

L’un des principes fondamentaux du code d’honneur du fumeur d’herbe est de faire tourner le joint. Vous prenez deux inhalations avant de le passer à la personne suivante. D’où l’expression « tire, tire encore et fais tourner ».

Certaines personnes finissent par fumer la moitié du joint avant de le passer. Les pires sont ceux qui ne le passent pas du tout. Si vous êtes l’un ou l’autre de ces types déplorables, considérez-vous comme perpétuellement non invité aux futures sessions fumette. Personne n’aime les squatteurs opportunistes.

Ne pas faire tourner le joint
  • Inhaler trop profondément ou trop peu

Une inhalation trop profonde est douloureuse pour les poumons et constitue un gaspillage de fumée. D’un autre côté, une inhalation trop légère ne vous fera pas suffisamment planer. Pensez-y comme si vous sirotiez une boisson avec une paille. Vous n’avez pas besoin de trop siroter pour apprécier la boisson, mais vous devez aussi en absorber suffisamment pour en avoir le goût.

Il est vrai qu’il faut plusieurs sessions pour trouver le bon équilibre. Cette erreur est excusable les premières fois, mais si elle persiste, le problème peut venir de vous.

  • Maintenir l’inhalation de cannabis dans vos poumons

Beaucoup ont l’impression que tenir une inhalation de cannabis dans les poumons les fera planer plus haut. Malheureusement, ce mythe a été démystifié. La raison pour laquelle certaines personnes peuvent percevoir l’inhalation comme étant « plus puissante » est la sensation d’étourdissement qu’elles ressentent après l’avoir fait.

Mais n’allez pas vous priver d’oxygène. L’étourdissement que vous pensez ressentir est un avertissement de votre corps concernant un faible niveau d’oxygène, ce qui n’est jamais bon signe. Alors si vous retenez toujours vos barres, laissez tomber cette pratique inutile.

Les erreurs avec le cannabis - Partie 3 : les erreurs que les gens font après avoir fumé

La dernière partie de cet article est consacrée aux erreurs commises après avoir fumé. Avez-vous, ou l’un de vos compagnons fumeurs, commis ces erreurs ?

  • Stocker votre herbe dans de mauvaises conditions

Le cannabis de qualité supérieure doit être stocké dans un récipient en verre propre et hermétique pour éviter les dégâts causés par l’oxygène. De même, il faut le ranger dans un endroit sombre, car la lumière peut également endommager vos têtes et la température ambiante doit être modérée, soit autour 25,5 °C (75 °C) pour une température optimale qui évitera le développement de moisissures.

Le stockage du cannabis dans de mauvaises conditions n’entraîne pas seulement la formation de moisissures, mais peut aussi lui faire perdre son goût et une partie de son THC. Vous vous retrouvez alors avec de la weed insipide, ce dont personne ne veut.

  • Oublier d’effacer vos traces

Vous aimez peut-être fumer de temps en temps, mais ce n’est pas le cas de tout le monde autour de vous. En particulier si vous vivez avec des membres de votre famille qui n’aiment pas ça : les signes de consommation de cannabis peuvent être une source de tracas.

Tant que le cannabis est légal là où vous habitez, personne ne vous empêchera de fumer votre herbe préférée. Mais faites preuve de respect envers les autres en effaçant vos traces. Tenez les odeurs à distance du mieux que vous pouvez et veillez à laisser votre environnement propre et aéré.

Oublier d’effacer vos traces
  • Mal planquer votre weed

Tout comme oublier d’effacer vos traces, mal planquer votre weed est une grossière erreur. Votre mère ou votre grand-mère n’appréciera pas de tomber sur votre sac rempli de weed. Et hop, des tracas inutiles en un instant.

Si vous vivez à la maison ou avec quelqu’un qui n’est pas un fan de la marijuana, gardez votre cachette hors de vue. Vous pouvez la garder dans un tiroir auquel vous seul avez accès ou dans un endroit improbable comme un livre creusé en son sein.

  • Mauvaise interprétation de votre toux

La toux est un moyen pour votre corps de se débarrasser des irritants dans les poumons et la gorge. Si vous vous surprenez à le faire pendant les sessions fumette, c’est a priori tout à fait normal : une gorgée d’eau suffira à apaiser cela.

Mais si vous vous retrouvez avec une mauvaise toux pendant des semaines, vous êtes peut-être confronté à un problème sérieux. Envisagez de demander une aide médicale ou de faire une pause pendant un certain temps.

  • Laisser la tolérance trop s’installer

Nous avons parlé de faire une pause dans le paragraphe précédent et cela s’applique également ici. Si vous laissez votre tolérance s’accumuler, vous aurez envie de fumer plus d’herbe pour atteindre un niveau comparable. Non seulement cela videra votre compte en banque, mais l’inhalation constante de fumée peut causer des dommages à votre corps.

L’excès d’une bonne chose peut aussi être mauvais. Les pauses de tolérance vous permettront de profiter de l’expérience de fumer sans dépendance potentielle. Vous devriez l’essayer de temps en temps.

  • Conduite automobile

Certaines personnes pensent qu’elles conduisent mieux sous l’influence du cannabis. Selon eux, ils seraient plus concentrés et plus alertes, ce qui leur permet d’éviter les crises de nerfs au volant.

Ne tombez pas dans ce type de raisonnement. En fin de compte, vos facultés sont toujours affaiblies et compromises et ça, ce n’est vraiment pas souhaitable pour quelqu’un au volant d’une voiture.

  • Oublier de laver vos équipements

De nombreux fumeurs de cannabis sont coupables de cette erreur. Ils fument un soir, se fracassent et oublient de nettoyer leur pipe ou leur bang. Des jours, voire des semaines, s’écoulent et leur matériel reste dans un piteux état.

Nettoyez toujours vos appareils. Si possible, faites-le juste après vos sessions pour ne pas oublier.

Éviter de commettre ces erreurs courantes concernant la weed

Nous faisons tous des erreurs de temps en temps, surtout avec quelque chose d’aussi mal compris que le cannabis. Espérons qu’avec l’aide de cet article, votre voyage cannabique ne sera que plus fructueux au fil des années. Nous avons couvert beaucoup de points sur ce sujet, alors gardez cet article dans vos favoris pour y revenir au besoin.

Sources Externes
  1. Comparative pharmacology of Delta9-tetrahydrocannabinol and its metabolite, 11-OH-Delta9-tetrahydrocannabinol - PubMed https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov
  2. The “Entourage Effect”: Terpenes Coupled with Cannabinoids for the Treatment of Mood Disorders and Anxiety Disorders https://www.ncbi.nlm.nih.gov
  3. Marihuana attenuates the rise in plasma ethanol levels in human subjects - PubMed https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov
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